Jacinthe Brouillard, une entrepreneure dynamique, maîtrise l’art de faire « mousser » ses projets ! Avec plus de 14 ans dans le domaine des produits de nettoyage biodégradables, elle créée la toute première machine distributrice adaptée à tous les liquides en Amérique du Nord! Équipée des dernières technologie 4.0, la Boite à savon se retrouve aujourd’hui dans plusieurs grandes surfaces où les consommateurs peuvent s’approvisionner en produits de nettoyage en vrac, réduisant ainsi l’impact environnemental en réutilisant les contenants. L’impact écologique est réduit, car les bouteilles sont réutilisées, une fois bien nettoyées et désinfectées.
Ces machines distributrices intelligentes permettent de recevoir les données en temps réel pour en faciliter le réapprovisionnement en produits pour les commerçants. On retrouve la Boite à savon dans des épiceries Metro, dont à la succursale de Bromont. Cette innovation s’adresse aux manufacturiers, fabricants et les distributeurs de produits liquides, alimentaires et non alimentaires. Et ça marche ! L’entreprise de Rougemont enregistre une croissance majeure !
En forte croissance, les défis sont au rendez-vous ! De 4 employés au démarrage en mai dernier à 14 aujourd’hui, le Groupe Llnear a « la broue dans le toupet » ! En octobre dernier, Simon Turcotte, Annie Patenaude et Danny Pelletier se sont joints à l’actionnariat pour appuyer le développement et la croissance de l’entreprise.
Saisir l’opportunité !
Puis, la pandémie du COVID-19 se pointe : Llnear saisit l’opportunité et rapidement ajoute une toute nouvelle distributrice de désinfectant à main sans contact. La fabrication en accéléré du prototype et des premières unités de cette nouvelle machine distributrice a présenté des défis pour l’approvisionnement des pièces, car plusieurs usines étaient fermées au cours des dernières semaines; et c’est un défi relevé ! « Depuis le début de la COVID-19, c’est fou ! » Une chaîne pharmaceutique a approché Llnear pour 1200 succursales à travers le pays !
« Le Centre d’aide aux entreprises a été le premier à embarquer dans le financement de l’entreprise; ils m’ont donné ma première chance! » mentionne Jacinthe Brouillard pour qui la pandémie a en quelque sorte eu un «effet de levier». « C’est le chaos de notre côté, mais dans le bon sens», lance-t-elle.
